Les sociétés françaises qui s'implantent ont une démarche de délocalisation de services (centres d’appels, comptabilité, traitements de données, recouvrement de créances, solutions informatiques, …), soit pour leur propre compte soit pour le compte de clients et/ou d’optimisation fiscale (le niveau d’imposition est particulièrement avantageux : 15% « flat »). Lorsque l’activité de l’investisseur est uniquement « offshore » , il opte pour la GBC1 ( Impôt sur les sociétés à 3% ). Certaines entreprises françaises utilisent l'Ile Maurice comme base pour déployer des activités dans l’Océan Indien ou en Afrique. Certains domaines d’activité attirent les opérateurs françaises : les TIC (services informatiques, edition de logiciels, …) et la « relation clients à distance » ou BPO / Business Process Outsourcing.
L’implantation des entreprises françaises à Maurice s’est accélérée au cours des dernières années et la France est devenue sans conteste le premier pays investisseur
À l'Île Maurice, les investisseurs français bénéficient de l’accord de protection des investissements (API) signé le 22 mars 1973 et entré en vigueur le 1er avril 1974.
La conclusion de ce nouvel accord vise à renforcer la présence des investisseurs à l’Ile Maurice et à contribuer à la promotion de l’attractivité de la France auprès des investisseurs mauriciens.